Je le regardais alors et vit qu'il était étonné comme un gamin en me voyant lui proposer de venir chez moi. Je souriais en me laissant entraîner et finis par afficher un sourire sincère en le laissant m'emmener. Je voyais pas mal de filles regarder Kyo et crier son prénom dans la rue en voyant qu'il était avec une fille:

"Kyo ... t'as pas mal de fan dis moi..."

Je baissais doucement la tête en attendant la réponse me sentant un peu chanceuse et rougissant comme une gamine, il est vrai que j'avais aussi pas mal de succès mais j fuyait las garçons pour avoir la paix m'enfermant parfois dans une salle seule lorsque j'allais en cours. Je fini alors par le regarder de nouveau et dire:

"Tu ... tu sais pour moi c'est un plaisir de te faire venir chez moi! Par contre j'ai pas encore dis à Hauru que je ne sortais plus avec Zoku... J'avais trop mal pour en parler et j'ai préférer rester enfermée dans ma chambre alors il est possible qu'il ne comprenne pas...."

Je soupirais alors et fini par m’emmêler et commençais à tomber au sol.

ps: je ne vois aucune règle interdisant à Kyo de tomber amoureux d'une autre fille que Tohru.

J’étais surexcité, un vrai mioche qui est content de voir où vit sa copine. Tellement pressé que j’expédiais le passage de par chez moi. Tenant par la main Aoi, limite l’entrainant trop vite je vous arriver le plus vite chez Shiguré me changer et plier les vêtements d’Hauru le plus rapidement possible.
 
Sur le chemin, nombre de jeune lycéenne depuis le trottoir s’en face me reluquaient. Limite comme le fan club de Yuki.  Ma compagne me le fit remarquer :
"Kyo ... t'as pas mal de fan dis moi..."
«  Il faut croire que mon attitude détonne énormément avec mon air revêche au lycée… Oh et puis flûte. »
 
"... tu sais pour moi c'est un plaisir de te faire venir chez moi! Par contre j'ai pas encore dis à Hauru que je ne sortais plus avec Zoku..."
« Il comprendra, et puis entre matou on est un peu siamois."
 
Enfin arrivé, pour accélérer encore les choses j’ai  délaissé l’entrée et les explications à donner au chien, et je suis passé par le toit en grimpant par l’arbre jouxtant la demeure en portant Aoi sur le dos. Recassant la partie rafistolée du toit me voilà dans la piole. Déposant ma passagère sur mon lit, j’ai relevé le sweet de mon cousin m’attardant, les bras relevé, torse à découvert… Un petit moment et puis me revoilà vêtu d’une de mes tenues propre.
« On y va ? »

"Oui.... On y va! Par contre tu devrais peut être les avertir non?"
 
Je la regardais et lui sourie, qu’y puis-je je ne suis pas le plus civilisé des garçons. Et mit à Yuki, j’avais des arguments poignants (c’est le cas de le dire) pour me faire respecter. Vêtu toujours d’amples tenues, à moi cette fois-ci, j’ai replié celle de l’autre chat.
« Chat pour chat, Hauru ne sera sans doute pas dérangé par mon odeur. »
 
Manifestement, Aoi ne saisissais pas la manière du chat pour rentrer chez lui. Je souriais :
« Le chat n’est pas le plus sage des signes. »
"Par contre on peut passer par la porte non? c'est plus.... normal je dirais non?"
« Pas envi e d’essuyer les sarcasmes de Yuki… Désolé. »
 
Et j’ai rendu à la Belle les vêtements d’Hauru, et l’ai reprise à califourchon. Et cette fois néanmoins je suis passé par la fenêtre. Déposant la demoiselle au sol une fois avoir dégringolé le vénérable arbre centenaire.

>> Le chat chez la jument