Six ans en arrière (feat Aoi)

Je gonflais les joues en l'écoutant parler ainsi. Cela me dégoutais, et même à 11 ans j'avais compris que c'était à cause de ca qu'il était triste... Je fini alors par poser ma tête contre son bras dans l'eau avant de remonter tout en lui tenant la main et dit doucement:

"Moi je l'écouterai jamais Akito.... J'écoute pas les méchants..."

J'avais une conception assez banale du bien et du mal. Les méchants étaient ceux qui faisaient du mal à mes amis et ma famille. Les gentils étaient les autres. Je souriais doucement en le regardant et fini par mettre bien mes cheveux en arrière pour qu'ils ne me gênent pas et je fini par me mettre devant lui et dire:

"Hum... tu peux faire une tresse moi 'jy arrive pas... Je suis trop nulle pour ça!"

Je soupirais doucement restant devant lui toute calme, les cheveux encore dans l'eau et la tête à moitié dans celle ci. Je m'amusais à faire des bulles avec ma bouche puis à remonter pour rire amusée. Mais le rire se stoppa en voyant la tête que Kazuo faisait. Je soupirais doucement affichant un air compatissant.

Ne pas écouter les méchants... Seulement Kazuo y avait pensé... Qu'il avait simplement eu l'idée de se sauver et faire ce qu'il voulait de sa vie. Il aurait marié Kari malgré tout et aurait laisser la famille derrière lui. Certes, il n'aurait pas laissé en plan la famille d'Aoi, mais il aurait pu vivre l'amour qu'il ne pourra plus vivre. Malheureusement pour elle, cela ne pouvait pas se passer ainsi.

~ Même si Akito est "méchant", tu devras écouter tout ce qu'il te dit, car il est notre chef. Se sera toujours comme ça. Même si tu ne le veux pas ou que cela te fasse de la peine, tu devras suivre ses paroles. tout comme je devrais faire...

Il s'en suivit un long soupir. Malgré tout, Akito était le chef de la famille et il agissait comme un dieu. Il fallait vivre selon ce qu'il nous disait de faire. Plus tard, elle allait comprendre, car maintenant elle était trop jeune pour comprendre tout à fait les mots des grands, mais cela n'allait pas tarder, car Akito allait sûrement vouloir la rencontrer et sûrement commencer à lui dire quoi faire.
Puis la petite demanda à son cousin de lui faire une natte. Certain que cela allait lui faire plaisir, Kazuo adorait jouer dans les cheveux de la petit Aoi.

~ Bien sûr. Il eut un petit sourire, mais sa cousine ne pu le voir, car elle était déjà dos à lui. Il faudra que tu te pratique un peu. Ça ira mieux après.

Il commença donc à faire la tresse de la petite. Il savait que cela allait lui occuper l'esprit durant plusieurs minutes. De plus, ses cheveux étaient tellement magnifiques! lorsqu'il termina, il alla prendre place sur le bord de la piscine et posa sa tête. Il ferma les yeux. Il sentait un peu de calme dans son esprit, mais lorsqu'il gardait les yeux fermés trop long, il revoyait des images qu'il ne souhaitait pas voir.

J'étais contente lorsqu'il me fit la natte et le laissait faire l'écoutant parler de akito et gonflant les joues, je ne voulais en aucun cas l'écouter lui qui avait fait tant de mal. Je ne l'avais encore jamais vu et je ne voulait pas le voir. Je fini par dire doucement:

"Je m'en fiche de ce qu'il dit... Je ferai ce que je veux!"

Lorsqu'il eu fini je me retournais dans l'eau le voyant se mettre au bord et se reposer doucement. Je fini par m'approcher à la nage ne touchant pas le fond et posa ma tête contre son torse écoutant son coeur et me serrant contre lui. Je pouvais sentir sa peau nue contre la mienne mais je m'en fichais. Je fini par dire doucement:

"tu sais Kazuo... Personne me fera pleurer moi... Je veux jamais être triste à cause de quelqu'un..."

Je fini par me décoller de lui pour aller me chercher un peignoir et le mettre sur moi laissant juste mes jambes dans l'eau et le regardant en souriant. Je me remettais alors à chanter et ma mère débarqua alors me demandant de le laisser un peu tranquille. Je soupirais et refusa de partir retirant de nouveau le peignoir et plongeant, je savais qu'ainsi elle ne viendrai pas. Je souriais à Kazuo tirant la langue à ma mère.

kazuo mit ses paroles sur la jeunesse. elle ne l'avait encore jamais vue, alors elle ne savait pas ce que c'était de rencontrer cette personne importante dans leur vie. Elle agissait comme un dieu sur eux et il agissait ainsi dans la vraie vie. Ce n'était pas seulement en apparence, il l'était pour vrai. Il était leur Dieu. Le serpent comprit assez bien qu'il n'était pas le temps de discuter de cela avec elle. Il faudra attendre plusieurs années avant qu'elle ne comprenne ce que Kazuo voulait dire.

~ Un jour, tu comprendras...

Il avait bien peu de la façon qu'elle allait apprendre à écouter Akito. Cela allait sûrement être dur pour elle, mais il espérait que tout allait bien se passer avec elle. Il pardonnerait jamais à Akito si il devait être brusque avec la petite.
Il sentit bien que la petite allait vers lui. Il sentit même sa tête contre son torse. Il referma donc ses bras autour d'elle. Il l'aimait vraiment beaucoup et était content d'être près d'elle comme il l'était en ce moment.

~ Je te le souhaite Aoi... Je te le souhaite.

Dit-il les yeux toujours fermés et sans bouger. Sa jeunesse en était pour quelque chose, Kazuo en était sûr. Elle disait des choses qui allaient sûrement changé plus tard, mais si elle tenait vraiment à cette parole, il avait bien hâte de voir comment elle allait entreprendre sa vie avec cette pensée. Si elle devenait aussi forte de ce qu'elle disait, tout irait à merveille pour elle.
Puis, elle s'éloigna. Le silence prit place, mais au loin, il entendit la petite fredonner. Cela ne lui fit pas de mal d'être un peu seul un moment. Il aurait aimé que cela dur plus longtemps, mais Aoi revient près de lui. Il n'osait même pas lui dit de partir, car cela allait lui faire de la peine. La mère l'interpella. Elle lui expliqua qu'elle lui avait mit des vêtements près du bain, comme cela il pourrait s'habiller une fois qu'il sortirait du bain. Il la remercia et referma les yeux à nouveau.

J'étais en train de m'amuser dans l'eau de manière à ce que ma mère ne puisse pas m'attraper. Je fus alors sur prise de la voir relever son pantalon et mettre les pieds sur le bord de l'eau pour me sortir de là par la peau du dos. Je fini par me transformer comme pas possible galopant dans toute la maison car je ne voulais pas qu'elle m'attrape. Je fini par me stopper dans le salon en rigolant et me laissant faire. Je fini par dire doucement:

"Haha! Je t'ai eu... mais je suis trop fatiguée pour continuer!"

Elle me gronda alors mais c'était mérité. Je souriais doucement en la regardant et lui caressant la main doucement la laissant m'habiller et aller attendre mon cousin dans le couloir. Je souriais doucement en chantonnant et fini alors par dire:

"Ca me fait plaisir que tu sois là Kazuo... J'espère que tu pourras sourire de nouveau avant de repartir d'ici... même si j'ai pas envie que tu partes..."

J'étais franche comme toujours et je fini alors par me lever pour aller doucement faire ms devoir dans le salon. J'étais très ordonnée et je n'aimais pas faire mes devoirs à la fin des vacances.

Kazuo regarda la mère et la fille jouer ensemble. C'était sûrement l'idée de la mère ça : occuper la petite pour que le maudit est un moment de repos, un petit moment à lui. Il la remercia mentalement et referma les yeux une fois que les deux femmes soient dans la maison. Il entendait la petite, mais il ne distinguait pas ce qu'elles se disaient ou ce qui se passait. Bref, cela lui fit du bien. Il repensait à plusieurs choses, mais sans qu'il ne le veuille, il repensa à Kari, à Akito et à Hatori... Les larmes recommencèrent à couler... C'était vraiment dur. Il comprenait pas comment il allait passer au travers, si il allait y arriver.

Il se passa environ quinze minutes avant que Kazuo sorte de l'eau. Il avait reprit un peu d'énergie, mais il avait encore envie de dormir. Il s'habille lentement et alla rejoindre sa cousine. Elle était dans le salon en train de faire ses devoirs. Il alla porter ses vêtements sale dans la salle de lavage et il alla s'étendre sur le sofa derrière sa cousine. Il ne voulu pas la déranger, mais il s'endormit après seulement quelques minutes,mais il savait qu'en s'endormant sur le sofa Aoi allait la réveiller lorsque ses devoirs allaient être terminé, ou lorsque le souper sera prêt.

Il était réellement claqué et je ne voulais pas le déranger. Je continuais alors mes devoir comme l'enfant sage que j'étais et fini alors par le réveiller au moment ou j'eus fini mes devoirs. J'avais tout ranger et je voulais passer un peu de temps avec lui, non pas pour le questionner mais pour lui faire penser à autre chose. Je souriais doucement en le regardant et lui embrassa la joue en guise de réveil avant de dire doucement:

"Kazuo... Tu viens te balader avec moi dans le jardin... Maman a dit qu'on pouvait y aller sans manteau car il faisait assez chaud et qu'il y avait plein de soleil... Mais surtout des fraises à manger.... Ca fait un moment que je les attend celles là!"

Je riais alors doucement en le regardant gonflant les joues en parlant des fraises, ce qui fit rire ma mère qui me caressa alors doucement les cheveux. Elle fini alors par dire calmement que Kazuo voulait peut être se reposer alors je le laissa là avant de revenir avec plein de fraises dans mon pull, je m'en étais servi comme d'un plat pour les mettre dedans et je les laissais alors glisser sur la table:

"Hum... c'est tout pour toi! tu verras elles sont bonnes!"

J'en avais autour de la bouche et je m'étais régalé.... Depuis toute petite je raffolais de fruits rouge.

Il ouvrit les yeux lentement. Il venait de se réveiller au doux contact des lèvres d'Aoi sur sa joue. Il aurait dormi encore plus longtemps, car il avait que la volonté de faire ça en ce moment, mais Aoi était tellement contente qu'il soit à la maison, qu'elle voulait faire des activités avec lui, mais comment lui dire qu'il voulait simplement dormir. Dormir jusqu'à ce qu'il ne ressente plus la fatigue dans son esprit. Il était vraiment vidé de toute son énergie, même s'il avait passé une bonne nuit de sommeil, prit un bain chaud et dormit pendant environ deux heures. C'était fou comment cette expérience était dure pour lui.

Aller se balader dans le jardin? Ouai, pourquoi pas, mais comme il allait répondre à sa jeune cousine, la mère parla. Laisser Kazuo se reposer? Oui, cette idée aussi était bonne. Kazuo eut un petit sourire pour la mère et la fille. Un sourire doux pour la jeune fille, mais un sourire de gratitude pour la mère.

Kazuo profita de l'absence de la petite pour parler à coeur ouvert à sa mère. Il lui expliqua tout, du moins pour qu'elle sache vraiment toute l'histoire, même si cela allait faire pleurer Kazuo à nouveau, mais il était incapable de lui cacher quoique se soit. Elle comprit rapidement ce que le petit serpent ressentait en ce moment. La mère vint même pour serrer Kazuo dans ses bras, mais elle s'arrêta au dernier moment. Il lui serra tout simplement l'épaule. Le maudit était en train de se sécher les yeux quand la petite arriva son pull plein de belles fraises rouges. Elles avaient l'air appétissante!

Wow! Elles sont magnifiques! Elles ont l'air très bonnes aussi! Il remarqua qu'Aoi en avait partout sur le visage, signe qu'elle en avait mangé en chemin, ou plutôt durant sa cueillette. En avait telle mangé plus qu'elle en avait rapporté? Probablement. Ses couleurs lui fit échapper un petit rire. Elle était mignonne. Merci Aoi!

Il en prit une. Elle était délicieuse! Juteuse, assez sucrée et assez acide. Les fraises de leur jardin étaient vraiment géniales. C'était les meilleures qu'il avait mangé jusqu'à maintenant. En fait, il mangea tout ce qu'Aoi lui avait apporté. L'appétit venait de le frapper et ses fraises étaient plus que parfaites!

Manger... C'était ce que j'avais fait en cueillant les fraises dans le jardin... Je n'avait mangé que peu de fraises mais elles étaient tellement énorme pour moi que cela suffisait. Je souriais en voyant Kazuo faire de même et se régaler. Je restais assise à coté de lui en le regardant manger voracement tout ce que j'avais ramené. Lorsqu'il parla un peu je souris alors finissant par dire:

"Hum oui... elles sont vraiment bonnes! Kazuo... tu viendras avec moi demain pour aller en chercher encore... Je veux faire un gâteau avec toi!"

A cette époque je savais déjà qu'il cuisinait comme un dieu et c'est pour cela que je lui avait proposé cela. Je souriais comme l'enfant que j'étais avant que ma mère ne me regarde m'attrapant alors pour que j'aille me laver la bouche. Je le fit directement avant de revenir dans le salon en fonçant et m'étalant alors sur le canapé tellement j'avais été vite, l'on pouvait voir ma culotte car ma jupe c'était retournée.

"Haha... Oups!"

Je débordais de joie de vivre et je le faisais ressentir à toute la maison.

~~Elle est trop kawai!!!!~~

Faire un gâteau aux fraises le lendemain? Oui, pourquoi pas. Ils allaient bien s'amuser et cela faisait un moment que Kazuo n'avait pas fait la cuisine avec la petite fille. C'était certain qu'il allait être délicieux, mais pour le moment, Kaz n'avait pas trop envie d'y penser, mais c'était sûr que le lendemain se serait parfait! Cela redonnait un peu d'énergie au jeune homme. La présence d'Aoi l'aidait beaucoup. Il allait sûrement s'en remettre un peu plus rapidement grâce à elle.

Oui! C'est une excellente idée. Cela fait un moment que l'on a pas fait de gâteau ensemble!

Certes, au lieu de dire cela avec son entrain habituel, il était plus calme, mais cela se comprenait. S'il avait été mieux, Kazuo aurait proposé à la jeune femme de le faire sur le champs, mais c'était le moment du repos, même Aoi venait de s'étendre sur le canapé. Le maudit vit la culotte de la petite et il replaça la jupe de cette dernière, il eut même un petit rire en réponse à son "oups". Le jeune home la prit dans ses bras, couché sur le côté et lui jouait dans les cheveux. La mère se leva pour aller préparer le repas du soir. Oui, ils étaient déjà rendu le soir. Kazuo se sentait bien et ferma les yeux. Il finit donc par se rendormir. Il allait bien finir par revenir comme avant, mais dans combien de temps? Ça il ne le savait pas, mais ce qu'il savait, c'était qu'il se sentait bien dans cette petite famille. Il était content d'avoir ses deux femmes dans sa vie. il n'aurait pas mieux tomber! Biensûr, cela aurait été bien qu'il connaisse sa vraie famille, mais elle aussi l'avait oublié, du moins la mère l'avait oublié. Il n'avait pas pu supporter la vraie nature de son fils. Cela prit un moment avant que sa mémoire fut effacée et maintenant ils n'étaient même plus au Japon. C'était atroce pour lui... Il aurait tellement voulu vivre avec eux, mais cela ne se pourrait jamais.

J'étais contente qu'il accepte de s'occuper de moi. Je me sentais bien en sa compagnie et lorsqu'il me prit entre ses bras je fini par m'endormir moi aussi c'est ma mère qui nous réveilla alors pour manger. Je souriais doucement en regardant Kazuo et lui caressant la joue et fini par dire doucement:

"Kazuo t'es un prince... même au réveil tu es beau!"

Je me levais alors comme la filou que j'étais à l'époque fonçant alors vers ma mère pour mettre la table et l'aider à faire à manger montant sur mon tabouret lorsque tout fut pret je fini par dire:

"Aller à table le miam est pret!"

J'avais vraiment faim malgré les fraises que j'avais manger quelques heures plus tot. Je voulais profiter de ma soirée avec Kazuo sans que ma mère n'intervienne.

Ce que la petite venait de lui dire le fit totalement rougir. Il était aussi rouge qu'une des fraises qu'il venait de manger. Kazuo ne s'attendait tout simplement à ce qu'elle lui dise cela. Certes, Aoi avait toujours été sincère comme ça avec lui, mais c'était tout le temps spontané. C'est ce qui intimidait un peu plus Kazuo. Il adorait cela!
Le réveil fut doux. La mère d'Aoi était douce de nature, alors rien n'était brusque avec elle. Il lui offrit un jolie sourire et il prit la position assise sur le canapé. Aoi était déjà debout. Avait-elle dormit elle aussi? Probablement. Elle avait eut une grosse journée malgré tout.

Et toi, tu es ma princesse alors!

À peine avait-il terminé sa phrase, qu'elle était déjà parti. Il eut un petit rire. Il se gratta la tête et alla faire un petit tour au toilette. Il était blême, plus qu'à la normale et ses yeux étaient pochés. C'était normal avec la soirée qu'il avait passé! Puis, il entendit la voix d'Aoi. Le souper était prêt. Alors, c'était le temps de se mettre à table. Heureusement, il avait encore faim. Il devait manger quelque chose malgré tout, même si ce n'était qu'une petite portion.

Ça sent magnifiquement bon!

Il prit la place qui donnait face à Aoi. Comme cela ils allaient pouvoir parler ensemble. De plus, la soirée s'annonçait tranquille. Après le souper, il allait prendre sa douche et ils étaient libres de faire ce qu'ils voulaient. Jusqu'à ce l'heure du coucher arrive.

Itadakimasu!

Joyeuse c'est ce que j'étais en compagnie de Kazuo. Je me sentais bien et je fini par m'asseoir à coté de lui me rapprochant de son bout de table. Je voulais juste passer un maximum de temps en sa compagnie et surtout pouvoir sentir sa chaleur cela me faisais du bien. Nous mangions tranquillement et je fini par prendre la main de Kazuo sentant qu'elle était assez froide je fini par dire intriguée:

"Kazuo Tu as froid? "

J'étais intriguée par cela et franchement je ne voulais pas le voir malade et encore moins mal à l'aise ici. Je fini par me lever pour mettre un peu plus de chauffage. Je fini alors par revenir à coté de lui en souriant

"T'auras pas froid comme ca!"

Kazuo n'avait même pas remarqué que ses mains étaient rendu froide. C'était vraiment juste quand Aoi avait prit sa main. Il avait sentit une grosse différence entre les deux mains durant le contact. Habituellement, il ressent jamais une brûlure lorsque la petit lui serre la main et là oui. Il craignait une transformation imminente. Cela lui faisait un peu peur, mais il savait qu'ici il serait bien traîter et de plus, personne ne sera en danger à cause de lui. Il fut content qu'Aoi aille monter le chauffage. Il en avait un peu besoin, mais il aurait pu simplement aller mettre une veste pour se réchauffer. Parfois, Kazuo avait besoin d'aide pour se réchauffer, car son corps était sensible au changement de température. Il était le seul dans la famille, mit à part Ayamé, qui ait se problème très désagréable. Cela l'empêchait de faire certaines choses. Ce qui l'attristait un peu, mais il faisait avec.

Je n'avais même pas remarqué... Merci pour le chauffage. Je ne risque pas de me transformer ainsi.

Ils finirent de manger et Kazuo aida pour ranger la vaiselle et alla se préparer pour aller sous la douche.

Je souriais doucement en le voyant heureux d'avoir chaud et fini par me nicher un peu contre lui pour lui transmettre ma chaleur. Je lui caressais alors le bras doucement avant de le voir se lever et aider à ranger. Ma mère me dit alors d'aller prendre ma douche et je fini par répondre:

"Avec Kazuo alors!"

Elle soupira alors m'expliquant que cela ne se faisait pas de prendre tout le temps des douches avec de grandes personnes et que je devais parfois le laisser un peu seul qu'il en avait besoin. J'affichais alors des joues bien rondes affichant mon mécontentement et répondis:

"Quand je serai la femme de Kazuo tu pourras pu rien dire!"

Je lui tirais alors la langue me précipitant dans la salle de bain pour me laver tranquillement.

Kazuo sentit très bien la chaleur d'AOi. Cela lui fit encore plus de bien. C'était ce qu'il avait de besoin. C'était la meilleure source de chaleur qu'il pouvait trouver. Ça où dormir sous une lumière chaude ou dans un bain de bronzage. Bref, les deux options n'étaient pas ce qu'il préférait. Alors, l'avoir près de lui comme ça, était vraiment la meilleure chose pour lui. Il l'embrassa sur le dessus de la tête. Il adorait cette petit fille. Il se promit que le lendemain, ils allaient sortir ensemble. Pour aller où? N'importe où. Le parc d'attraction, la plage, le parc ou dans la ville. Il voulait que la jeune fille passe un excellent moment et pas qu'elle ait l'impression que son cousin, ou futur mari si on suit sa ligne d'idée, n'allait pas revenir comme avant. en même temps, il n'était pas pour rien faire avec elle, puisque c'était les vacances d'été.
Il ne pu s'empêcher de rire aux éclats quand elle annonça qu'elle voulait prendre sa douche avec elle et que quand ils allaient être mariés, personne ne pourraient l'empêcher de faire ce qu'elle voulait avec lui. Certes, sa mère lui lança un regard rempli d'éclairs. Kazuo n'avait pas l'habitude de s'empêcher de rire quand elle était honnête. C'était simplement plus fort que lui.
Kaz alla xhercher ses trucs pour la douche et attendit son tour assit près de la porte. Il déposa sa tête sur ses genoux. Il commençait à se fatiguer. Il espérait tellement pouvoir passer une bonne journée avec Aoi le lendemain. SAns trop penser à ce qui s'était passé. Il voulait évoluer, mais toutes les choses qui avaient fait avec Kari lui remonta à l'esprit. Il sera incapable de recommencer certaines choses qu'il faisait qu'avec elle ou simplement de se retrouver dans un lieu où il avait passé du bon temps avec cette merveilleuse jeune femme. Il eut un long soupir et une unique larme qui coula le long de sa joue. C'était dur de savoir que plus jamais Kari allait prononcer son nom, l'attendre au coin de la rue pour aller en cours ou simplement pique-niquer dans leur parc favoris.

Je l'entendis alors derrière la porte et fini par sortir toute nue ayant oublié mon kimono pour dormir, je passa alors devant lui les cheveux totalement en pagaille fonçant dans la chambre et fini alors par revenir vers lui une fois en kimono toujours les cheveux en pagaille et dis doucement:

"A toi! Moi je t'attend la comme tu as fait! "

Je l'attendais vraiment à la place lorsqu'il fini par sortir je lui sautais alors dans les bras en souriant et glissa doucement en creux de son oreille:

"Kazuo... Je suis tellement heureuse que tu vive avec nous... Je veux pu jamais être dans la maison sans toi avec nous!"

Je fini par lui caresser la joue en souriant doucement.

Kazuo eut un sourire lorsqu'il vit, passer devant lui en flèche, une petite fille nue. Cela ne l'étonnait même pas qu'elle ait oublié son pyjama dans sa chambre. Il hocha même de la tête, un peu exaspéré. Elle était étourdie comme jeune fille, mais c'était dans la fleur de l'âge. Cela lui arrivait souvent, mais c'était ce qui faisait d'elle une si jolie jeune fille. Kazuo l'adorait plus que tout. Il espérait tellement passer de bons moments avec elle le temps qu'il habiterait avec la fille et sa mère. Puis elle revint vers lui. Elle prit place, exactement où le serpent l'avait attendu. Elle était vraiment trop mignonne, mais ses cheveux en pagaille lui annonçait beaucoup de travail. Kazuo savait qu'il allait être celui qu'Aoi allait demander pour lui démêler les cheveux. Cela ne lui dérangeait pas, après tout elle le lui demandait souvent.
Kazuo entra donc dans la salle de bain. Il trouvait qu'il avait encore mauvaise mine. Il avait encore beaucoup de difficulté à passer au travers. Il sentait que les prochaines semaines allaient être dure pour lui. Rien n'allait être facile pour lui. Il se déshabilla et entra dans la douche. Il avait froid et cela allait l,aider à ne pas se transformer. Ce n'était pas évident être le maudit du serpent, car les grands changements de température ne jouaient pas en sa faveur. Trop froid il s'endormait et se transformait, trop chaud il devenait aussi paresseux et se transformait. Certes, ils avaient tous une santé fragile, mais ses changements étaient encore plus dur pour les maudits par le serpent.
Bref, il se demanda ce qui pourrait faire pour se changer les idées. Certes, c'était l'été et Aoi était libre. Il pourrait l'amener à la plage, au parc ou à la fête foraine. Cela pourrait être amusant et ça les occuperaient tous les deux. oui, ce serait une bonne chose et la maudite du cheval serait plus qu'heureuse de faire ses activités avec lui et cela allait lui faire plaisir aussi.
Lorsqu'il sortit, il remarqua que la mère d'Aoi avait ramassé tous ses produits. Il était vraiment content qu'elle ait pensé à cela. Sûrement qu'elle était entré dans son pavillon et qu'elle avait vu toutes ses bouteilles sur le comptoir du lavabo. Il aimait faire attention à sa peau et cela lui allait à merveille, car il était d'une grande beauté. Plusieurs filles lui avaient demandé conseil. Il trouvait cela un peu drôle, mais au moins, il pouvait se sentir bien de cette façon.
Une fois qu'il eut tout terminé. Il sortit et alla voir Aoi, qui était toujours assise près de la porte. Mais il n'eut pas le temps de dire quoique se soit qu'elle lui sautait déjà au cou. Il était content de recevoir autant d'affection de sa part, mais ce fut plutôt ce qu'elle lui dit qu'il le toucha énormément.

Je suis heureux d'être avec vous aussi. Je vais être avec vous le plus longtemps que je peu. Je ne pourrais pas toujours vivre avec vous, mais je vais venir très souvent! Je te le promet!

Il allait vraiment tenir cette promesse. En effet, il ne pouvait pas vraiment quitter le pavillon où il vivait, puisqu'il prenait soin des jeunes Sôma et d'Akito. C'était un peu son devoir envers la famille, mais rien n'allait l'empêcher de rendre visite à Aoi. Personne ne pouvait l'empêcher de voir cette petite boule d'énergie qu'il aimait tant.

Bon! Il serait temps de peigner ses cheveux!

J'étais heureuse de savoir qu'il allait rester un moment avec nous. Je ne voulais pas le voir partir de suite juste de profiter de sa présence et de sa gentillesse c'était rare pour moi d'avoir un homme à la maison et j'étais heureuse qu'il occupe en quelques sorte le role du grand frere. Je fini par me relever lorsqu'il parla de me peigner les cheveux je lui tirais le bras pour l'emmener dans ma chambre et dit alors:

"C'est toi qui fait alors! Moi je suis nulle pour ça.... et puis mes cheveux sont trop longs!"

Ils étaient longs mais je refusais pourtant de les couper voulant les garder à jamais long. Il arrivait de temps en temps que ma mère coupe juste les pointes laissant le reste de ma longueur tranquille. Je soupirais doucement en regardant devant moi laissant Kazuo me brosser doucement et fini par dire:

"Quand tu retourneras chez toi... Je pourrais venir dormir chez toi le week end? Je veux pas que tu restes tout seul... c'est trop triste..."

Oui je pensais à cela déjà à cet age.

Kazuo adorait la charmante jeune fille. Elle était tellement mignonne, gentille et remplie de vérité. Elle allait devenir une grande femme, il en était sûr! Elle allait être une merveilleuse personne. Les garçons allaient sûrement tomber un après l'autre sous sa beauté et son magnifique caractère. Certes, kazuo était un peu jaloux à cette pensée, mais il allait toujours être la pour la protéger de quique se soit. Il allait toujours être un grand frère pour elle. Il allait jamais la laisser tomber. Kazuo allait toujours être prêt d'elle, peu importe ce qui allait arriver dans leurs vies. Kazuo avait besoin d'une famille. Il en avait jamais vraiment eut et Aoi lui permettait d'avoir une petite soeur. tout son amour allait pour elle maintenant. Elle allait sûrement être la seule femme de sa vie.

Oui, je vais le faire, mais il faudra que tu te pratiques pour le faire! Je ne serais pas toujours là pour le faire à ta place!

Ils allèrent donc dans la chambre d'Aoi. Kaz était à genoux derrière elle. C'était la façon la plus facile qu'il avait trouvé pour faire cela. De plus, Kazuo allait lui faire des tresses, comme ça ce ne sera pas un désastre au levé du matin. Ils seront plus facile à brosser. L'aîné fut par contre très étonné de la demande de la petite, mais c'était surtout ce qu'elle dit ensuite. Elle était vraiment éveillée pour son âge. Elle pensait déjà à cela. Ce qui attrista un peu le cousin de la maudite.

Biensûr, tu pourras venir quand tu veux chez moi. Tu seras toujours la bienvenue! Tu auras tonjours ton petit coin dans mon pavillon.

Kazuo continua à brosser les longs cheveux de sa cousine.

La semaine avait très vite vu sa fin venir et les vacances de même. J'étais triste de voir mon cousin partir de la maison. Je soupirais doucement en le regardant les larmes aux yeux. c'était la dernière nuit qu'il passait à la maison car l'école revenait et du coup il allait partir de nouveau chez lui. J'étais blottie contre lui en train de pleurer comme le fait chaque enfant qui ne comprend pas une situation. Je fini par dire la voix totalement enrouée:

"Kazuo... je veux pas que tu partes... Moi je veux que tu restes avec nous tu es encore triste au fond de toi et moi je le sens... maman le sais pas mais moi si... soit pas triste nous on est là..."

Je le regardais droit dans les yeux en disant cela en ayant posé mes mains sur ses joues. Je ressentais tout ce genre de chose et j'avais vraiment envie de le voir heureux non pas dans cette position encore souffrante et désorientée.

LE coeur de Kazuo était toujours meurtri, mais il avait recommencé à sourire. Bon d'accord, Aoi en était la cause. Il avbait passé un bon moment avec elle, mais la douleur était toujours là. ET malheureusement, les cours reprennaient autant pour Aoi que pour Kazuo. Évidemment, le serpent ne voulait pas retourner en classe, car il allait voir Kari à tous les jours. Les gens n'Allaient pas comprendre pourquoi du coup les inséparables n'étaient plus ensemble. Cela allait être étrange. Kazuo n'allait plus être le même. CEla allait être pénible, même terrifiant pour lui. Tout allait lui remonter à la tête. Il ne voulait pas vivre cela! Pour le moment, ce n'était pas le temps de penser à cela.

Il tenait une Aoi en pleure. Il non plus ne voulait pas partir. Il était bien dans la maison du Cheval, mais il devait retourner chez lui. Il avait des responsabilité là-bas et avait plusieurs choses à faire aussi. Il avait ses cours à terminer et il devait être là pour les autres Soma aussi.
Il la serra encore plus fort dans ses bras quand elle eut finit de parler.

Je reviendrais toutes les fin de semaines, si ta mère veut et toi aussi tu peu venir chez moi! Tu as le droit. Mais ne t'en fais pas pour moi, je vais beaucoup mieux grâce à toi. Arrête de pleurer. Je m'ennui de ton magnifique sourire.

Il déposa un baiser sur le front d'Aoi. Il se sentait étrange. Il allait quitter cette maison qu'il considèrait comme la sienne, mais il avait des choses à faire ailleurs et de plus il ne voulait pas déranger la mère et la fille encore plus longtemps.

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