Bon la licorne m'était apparu dans le parc et bon on avait fait connaissance si on veut puis peu après j'étais partis dans la forêt. Cela faisait plusieurs jours que je fuguais et c'était vraiment le bonheur de pouvoir me balader dans le silence et dans les bruits de la nature. La forêt était un lieu reposant sauf dans le cas où j'entendais des bruits parasites. Je me mis à sauter et grimper en haut d'un arbre pour pouvoir observer ce qui se passait. Et je vis que c'était ces sal*pards de pantins de la famille Kyôya qui me cherchait sans doute. Non, mais quel idiot de grimper dans un arbre surtout que la branche sur laquelle j'étais, était en train de lâcher.

Je fulminais de rage alors je pris mon inspiration puis je sautais pour tomber sur un des gars et me réceptionner plus ou moins bien. Je m'étais blessé la main alors en courant très vite et très loin, je sortis un mouchoir pour me bander la main. Je devais accélérer encore et encore vu qu'ils étaient en voiture. J'avais un mal fou à respirer tellement j'allais vite puis d'un coup, j'ai bifurqué sur la gauche et je vis une ouverture bien dissimulé alors j'y plongeais pour arriver dans un jardin. Je partis très vite me cacher dans l'ombre et le plus loin possible de l'ouverture pour pouvoir respirer comme un malade sans me faire retrouver par ces types. Je ne tenais plus sur mes jambes alors je m'écroulais dos au sol en fermant les yeux. Je respirais comme un bœuf tellement mon effort avait été intense et au loin j'entendis les voitures démarrer et partir.

Soudain j'entendis des bruits de brindille se casser signe que quelqu'un marchait dessus alors je me redressais d'un coup sur mes pieds, prêt à me défendre et à tabasser ces types et je vis un mec, mais plutôt flou signe que j'allais pas très bien puis d'un coup, tout tournoya autour de moi et je me mis ma main à ma tête. Je finis par m'écrouler et me transformer en un loup magnifique et noir plus grand que la moyenne. Je m'étais évanouis sous l'intense effort et émotion que j'avais ressentis d'un coup surtout que même dans les pommes, je respirais à perdre haleine.