La douceur d'un matin d'été que demander de mieux? Peu être de ne pas aller au lycée...

Il avait fait très chaud c'est dernières semaine et bien sur j'avais eu le chique de l'attraper une insolation. Et oui dur dur d'avoir la santé fragile mais que voulez vous je suis née comme sa et je n'y peut rien. Mais aujourd'hui, ma température est redevenu normal et je suis assez en forme pour aller au lycée, d'après Chizu, bien que la fatigue m'alloudissait un peu les paupières. Mais après avoir longuement parler, je sortie de sa chambre en poussant un long soupir me résignant à passer quelques jours en cours dans ses salles de classe ennuyeuses. Je remit les pans de mon kimono violet en place et fila à toute vitesse dans la chambre faire mes affaires pour le lendemain et le mettre au lit avant que j'ai de nouveau une poussée de fièvre.

Malheureusement la nuit avait été longue, entré le bruits des chaussures des différents domestique et les oiseau qui rentrait sans cesse dans ma chambre pour jouer, je n'aurai réussit finalement qu'à dormir quelque heures avant que mon réveille au le malin plaisir de sonner brusquement me signalant mon départ imminent en cours. Après être descendu prendre un rapide petit déj´, mettre habiller et battu avec ma crinière blanche, j'enfile ma paire de mi-bottes et sort de la maison. Direction le lycée !

En Kyoya modèle, j'ai pris le chemin le moins fréquenté, mais aussi un raccourci à travers un dédale de ruelles. Arriver au lycée sous le regard de mes camardes peu habituer à me voir je commence à monté les quelque marche de l'éclaire principal quand j'entend dire que mon prof pour les deux prochaine heures n'est pas là. Comment ne pas fulminer quand on c'est lever pour rien...mais le sommeil tombant sur mes paupières ne me fait que soupirer une énième fois.
Alors, le regard triste et froid je le dirige vers mon occupation pour les deux prochaine heures tandis que les autres monte en cours alarmés par la sonnerie qui retenti et me vrille les tympans. Être un aigle n'a pas que des avantages surtout sur le fait des son, certes j'ai une meilleure vue et ouïe mais les sons peuvent facilement me faire tomber dans les pommes.

Devant moi se trouve la porte d'une ancienne salle de musique non utilisée à cause des diminution des prof de cette matière dans le lycée, ce qui m'offre une bonne permanence puisque le piano est toujours la et malgré la poussière qu'il amasse il a un bon son. Je rentre ,retrouvant soudainement ma gaieté, sous le regard d'un classe qui rentre en cours. Qu'est ce qu'ils ont ? Je fait se que j'ai envié après tout.

J'enlève délicatement le draps sur le clavier du beau piano en chêne massif et dépoussière l'assise. Il est toujours aussi beau et toujours là aussi ce qui m'arrange grandement. Je m'installe tranquillement et caresse les touches. J'aime jouer mais pas devant les autres alors ses moments son rare. J'entame la première mélodie qui me vien a l'esprit et bien sur pas une des plus simple. Claire de Lune ,Beethoven . J'aime, non adore cette mélodie alors pourquoi pas. Mes mains sur le clavier bougés et s'exprime en mélodie, les notes s'enchaînent les une après les autre.je ne pense plus à rien

Le grincement soudain de la porte qui se referme me fait raté des notes et le piano fait un bruit déplaisant. Je me reste les yeux fièvre sur les notes et dit innocemment

- je ne savais pas que cette pièce était si fréquentée

Je me retourne et fait face à l'inconnu, qui semble une fille, une sensation de familiarité s'empare de moi. Est elle une des nôtres ? Une Soma? Un sentiment d'insécurité me donne des sueurs froide. D'un ton mal assuré je lance

- qui est tu vraiment ?

Qu'elle idiote posé une question pareille comme ça! Je m'assène une claque mentale bien méritée. Pour qui va elle me prendre maintenant ?